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    Pelham Galleries - London Clôture Défensive

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    Détails

    Description

    LES RAILINGS CHESTERFIELD HOUSE Fin DU XVIIe/début XVIIIe siècle, modifié et étendu dans les années 1740 Fonte et bronze doré Hauteur : 7 pi 6 po (2,29 m) Longueur totale des sections restaurées : environ. 56 pi (17 m) Deux sections centrales, chacune entrelacée C?s et les Bras de la Jarretière suspendus à un masque en bronze doré barbu flanqué de rouleaux d’acanthe et de butins floraux Quatre sections flanquantes avec des sommets à pointes entrecoupés d’urnes au-dessus des masques de lion de bronze doré, les rails alternatifs centrés sur des têtes de fleurs en bronze doré. Ce chef-d’œuvre de la métallurgie décorative européenne a probablement été créé par le Français l’artisan huguenot Jean Montigny, initialement pour le duc de Chandos ? maison de campagne Canons (démolie en 1744). Montigny s’inspire de l’œuvre gravée de Daniel Marot, architecte huguenot et desinger venu travailler en Angleterre à la cour de Guillaume et Marie - en particulier les « Diferent Ballecons » de Marot publiés en 1703. Les balustrades ont ensuite été enlevées et adaptées pour être utilisées à la maison londonienne de Philip Dormer Stanhope, quatrième comte de Chesterfield, construite par Isaac Ware en 1748-1749 à ce qui est aujourd’hui la jonction des rues South Audley et Curzon, à Mayfair. Idéalement, les C entrelacés dans les deux sections de l’Ordre de la Jarretière n’avaient pas besoin d’être modifiés, car les titres de l’ancien et du nouveau propriétaire des garde-corps partageaient la même initiale. Le quatrième comte (1694-1773) est surtout connu pour les lettres célèbres qu’il a écrites à son fils, publiées en 1774, qui sont rapidement devenues un guide officieux de l’étiquette et parfaitement incarné la société « polie? de l’Angleterre du XVIIIe siècle. Ses goûts sophistiqués, cependant, étaient nettement francophiles, et Chesterfield House devint l’une des plus grandes de toutes les maisons aristocratiques de Londres, avec des intérieurs rococo rivalisant avec ceux des plus grandes résidences parisiennes comme l’Hôtel de Soubise. Les balustrades ont fourni une contrepartie extérieure parfaite aux intérieurs et sont restées in situ jusqu’à la démolition de la maison en 1937. Pour un article plus détaillé sur les garde-corps Chesterfield House, veuillez contacter la Galerie.



    Caractéristiques

    • Origine : Royaume-Uni

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