1 objet, 1 histoire

La mosaïque est un moyen d'expression artistique très ancien et on la retrouve dans de nombreux continents: mosaïques péruviennes ou mexicaines en turquoise, jade, or, perles et coquilles à l'époque précolombienne; mosaïques de jade en Chine pendant la dynastie Han (150-113 a.C.); mosaïques en tortues, coquilles, plumes en Océanie; mosaïques de perles et coquilles en Afrique; mosaïques d'argile cuite en Afghanistan...

La laque est un vernis imperméable naturel extrait d'un arbre de la famille des Anacardiacées, le RUSE VERNICIFERA dont la meilleure espèce, il y a plusieurs siècles, fleurissait au Japon.

De cette sève on composait un vernis avec lequel on recouvrait divers objet en bois, porcelaine ou métal, puis on ornait ces objets de dessins d'or, d'argent ou d'une mosaïque de nacre. Au départ, cette matière première fournissait des laques noires ou rouges mais l'ajout de poudre d'argent ou d'or permit par la suite d'obtenir d'autres couleurs.

C'est un ouvrage décoratif que l'on obtient en appliquant au pinceau certains colorants spécifiques sur un support de soie. Les origines de la peinture sur soie sont étroitement liées à la culture extrême-orientale au sein de laquelle elle tient une place importante

Les premiers treillis ont d'abord été de simples entre-croisements de lattes de bois à claire-voie. Avant tout utilitaires, ils servaient alors uniquement de supports à la vigne. Très vite, les simples assemblages de lattes s'affinent, dessinant des lignes de motifs de plus en plus élaborées et revêtent rapidement un caractère décoratif. Présent dans la France du XVIIe siècle, c'est à cette époque qu'on commence à employer le terme de "treillage", désignant ces treillis aux formes recherchées.